Pour commencer, je
vous remercie pour vos lectures et vos participations !
Alors comme promis un petit retour sur l’article de
septembre.
Quand j’ai écrit l’article, j’avais émis des hypothèses …
- Il serait intéressant de voir s'il y a des différences entre les personnes qui ont toujours vécu avec un temps de lumière stable et celles qui ont grandi avec un temps de lumière variable.
- Il serait intéressant de voir si même sans diminution significative du temps de lumière notre humeur semble changer.
- Il serait intéressant de voir si nous nous sommes déjà posés la question du temps de lumière...
Bien sûr je n’avais pas pensé à l’influence de la chaleur, l’importance
de vivre et la fatigue des vacances !
Vos réponses ne semblent donc pas ressentir de lien entre le
temps de jour qui ne diminue pas et leur humeur, mais constatent quand même que
septembre n’est pas anodin 😌
.
Pour certains, il y a un avant et un après … avant les vacances, après la rentrée, cette rentrée qui
apparait presque comme reposante post-tumulte.
Pour d’autres, oui il y a une envie d’hiberner en lien
avec une rentrée (trop ?)
dynamique, qui souhaiteraient bien quelques instants une petite grotte douce et
silencieuse…
Et les essentiels, qui nous remettent les idées en
perspective :
Proche de l’équateur, on a du soleil et de la chaleur !
Hiberner, avec tout ce qu’on a à vivre !
Alors pour conclure (oui j’aime les conclusions), pas d’influence
de la baisse de lumineuse parce qu’il n’y en a pas chez nous, mais quand même,
septembre influe sur nos humeurs.
Et que
faire de tout ça ? Peut-être
prendre un peu de recul, ressentir nos changements intérieurs, en prendre conscience et au
choix se trouver une grotte ou un endroit bien ensoleillé ou un amical
équilibre…
Quelques lectures :
La chronique de départ dont je parle dans l’article
Le vrai nom de l’envie d’hiberner : la dépression saisonnière
Le soleil est notre ami !
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